Bourse en ligne

Le monde de la bourse n’est pas obligatoirement le plus facile à comprendre, comme si tout était mis en place pour rendre les choses difficiles et maintenir de cette façon un flou artistique constant qui justifient les primes et aides facturées, et même nous détournant de ce grand marché sur lequel seuls les grands spécialistes ont la possibilité d’y aller. L’augmentation des produits, la difficulté des montages, le danger pris quant à nos deniers fonds douloureusement gagnés… Tout cela fait de la bourse un géant impressionnant qui n’inspire pas vraiment une grande assurance. Et pourtant, toute notre économie européenne est fondée sur ce mot : la bourse.

Réfléchissons de manière déraisonnable. En vérité, si un grand chaos boursier survenait, l’argent n’aurait plus de valeur. Inclus les fonds de tous ceux qui n’ont jamais placé en bourse… Donc, s’il faut tout perdre, il est préférable de parier n’est-ce pas ? Car cela vous donne la possibilité également d’obtenir des gains.

De ce fait, il y a divers types d’investisseurs. En fonction des fonds placés, évidemment, particulièrement en fonction du niveau de violence. Il est possible d’augmenter le taux fois quatre de son livret en pariant quelques économies sur les marchés, et sans pour autant avoir de grands risques.

Et il faut admettre que les structures bancaires online, qui se présentent en tant que de hauts professionnels promoteurs du monde de la bourse, ont tout pour charmer les dubitatifs. En réalité, c’est exactement, la toute première fois dans l’origine de la banque en ligne  que la bourse est également vulgarisée, presque connu de tous c’est tellement accessible au point ou, si seulement nos doigts avaient la capacité de franchir l’écran de nos ordinateurs… Certaines structures bancaires offrent de ce fait des services de courtage développés afin de rentre le monde de la bourse disponible au plus grand nombre. Pour l’illustrer il s’agit de Binck, qui offre des frais de courtage à 0€, dans la restriction de 1000€ y compris, valides pour tous vos ordres réalisés sur Euronext jusqu’au 31 août 2017 y compris. Cette proposition est valide pour toute création ou opération de transfert de compte avant le 30 juin 2017. En contrepartie une attention spécifique consentie aux critères pouvant être élus et aux mentions légales, ce type de propositions ne donne pas la possibilité au premier venu de faire ses premières armes sur les marchés de bourse.

Il demeure à savoir comment cela va se passer. Et c’est là l’objectif des établissements bancaires online ; rendre la chose plus facile, compétitive et rentable en dépit de tout. Et c’est ce que nous allons contrôler ici. Toutefois, la bourse propose divers faisabilités que nous nous délimiterons à certains produits, ou certains suivis. Et pour débuter, habituons-nous avec les termes utilisés dans le petit monde de la bourse.

Compte titre : Le compte-titre est un compte de d’entrées totalement consacré aux valeurs dites mobilières (SICAV, fonds de placement, actions, obligations…) et sur lequel effectuent toutes les transactions liées à ces valeurs (versement de dividendes, achat, cession…). Si, jadis, les échanges étaient concrétisées, ce n’est plus le cas actuellement. Les titres ne sont donc plus envoyer ou sauvegarder physiquement, mais sont facilement dus d’un jeu d’écriture.

PEA : Plan d’Epargne en Action. Le PEA n’est ni plus ni moins qu’un compte titre, mais montrant quelques spécificités associées à sa fiscalité. Effectivement, il fut ouvert en 1992 dans l’objectif d’encourager les Français à faire des placements en bourse. Sur cette base, le PEA a la possibilité d’être élue pour presque tous les produits existant sur le marché dans une borne de 150 000 € de plafond de paiement. Le seul embarras est que les sociétés qui émettent de titres soient bien résignées à l’impôt sur les sociétés et possèdent d’un siège dans l’Union Européenne, en Norvège ou en Islande. En revanche, toutes les propositions dites « à découvert » sont bannies du placement du PEA. On met donc en évidence donc les sélections et les produits génériques tels que les warrants.

Depuis le 1er janvier 2014, les PEA-PME sont présent, gérer de la même manière cependant avec un plafond de 75 000 €.

Quelle est la différence entre un compte-titre ordinaire et un PEA en matière de fiscalité ?

Dans l’hypothèse d’un compte-titre ordinaire, les plus-values sont assujetties au taux marginal d’imposition moins un abattement pour une période de possession. Cet abattement est de 50 % si la possession des fonds a duré plus de 2 ans, et de 65 % si elle est élevée à 8 ans.

Dans l’éventualité d’un PEA, les plus-values sont dépourvues de d’impôt totalement pour peu que l’investisseur préserve les fonds sur le PEA pendant 5 ans. Les actions payés sont aussi exemptés d’impôts. Donc, au bout de 5 ans, uniquement les 15,5 % des acomptes sociaux se rapportent. Toutefois, toute opération de retrait d’argent pendant une durée de 8 ans à partir de l’ouverture du PEA qui conduit à la fermeture du compte. Au-delà de ce deadline, il y a une possibilité de retirer sans fermer le compte, mais plus aucun paiement n’est faisable.

Une Toute courte spécification pour ceux qui auront déjà en possession un PEA, les taux des prélèvements sociaux exécutés sont ceux en vigueur pendant où la plus-value a été effectuée et non pendant l’opération de retrait. C’est ce qu’on appelle le système des taux historiques. De même, c’est la date de création du PEA qui tient compte dans le calcul d’exemption, et non à la date d’achat des titres.

Autres sigles trouvés sur les sites web des banques sur Internet :

OPCVM : Organisme de Placements Collectif en Valeurs Mobilières. Cela concerne un portefeuille dont l’argent est mis sur des valeurs mobilières. Il en présente diverses sortes : OPCVM actions (qui doit posséder au moins 60 % d’actions), OPCVM monétaires, obligataires, de fonds alternatifs…

OPCI : Organisme de Placement Collectif Immobilier (non côté). La règle juridique est idem qu’au préalable. Il est forcément administré par une compagnie de gestion de portefeuille ayant un agreement et doit posséder au moins 60 % de valeurs immobilières et 10 % de trésorerie.

FCPI : Fonds Commun de Placement dans l’Innovation. Un FCPI est un OPCVM donnent la possibilité au capital-investissement dans des PME créatrices et non cotées en bourse. Cependant, les PME placées sur Alternext ou sur le marché libre sont estimées comme non cotées dans le milieu d’un FCPI.

SCPI : Société Civile de Placement Immobilier. Il s’agit d’un établissement donnant la possibilité au placement collectif sur l’immobilier à tendance technique. Produit à rendements toujours attrayant.

Unités de comptes, ou UC : norme utilisée pour mesurer la valeur des flux ou des stocks concernant les propriétés, les services ou les actifs. Pour l’illustrer, et bien que toutes les UC ne soient pas de l’argent, l’argent est une unité de compte.

SICAV : Société d’Investissement à Capital Variable. Les SICAV font partie de la famille des OPCVM. Elles ont pour objectif de confier la gestion à un organisme mutualiste pour les dangers et les profits d’un investissement en valeurs mobilières (actions, obligations…) et/ou d’autres outils financiers. Une SICAV a un statut légal spécifique, d’une personnalité morale et d’un conseil d’administration. Il peut en avoir divers types.

FIP : Fonds d’Investissement de Proximité. Pour au moins 70 %, les placements de cet argent doivent forcément être effectués dans des PME Françaises dont le lieu de résidence se localise dans 4 régions voisines.

Tracker : Il s’agit d’un fonds d’investissement en valeurs mobilières qui imite un taux boursier. De cette manière, l’administration se déroulera mollement mais étant en capacité continu d’imiter un indice particulier, définit au préalable, l’investisseur économise un trader.

Warrant : Un Warrant est un produit boursier à effet de levier. Il s’agit d’un contrat particulier qui donne la possibilité à celui qui le possède de vendre ou de faire des achats une part à un tarif fixé à l’avance, à un deadline établi (pour les Warrants de l’Europe) Ou alors jusqu’au deadline (pour les Warrants de l’Amérique). Par exemple, le tarif et la date de vente étant établie préalablement par contrat sur une part spécifique, l’investisseur n’a que d’autre choix que de faire des achats des actions au bon moment pour effectuer une plus-value, qui sera grossie par le contrat.

Action : Une action n’est rien d’autre qu’un titre de propriété qui est envoyée par une société de capitaux. Posséder une action, c’est avoir une part du capital de la soi-disant entreprise, et être actionnaire.

Obligation : Une obligation est un titre de créances. Avoir une obligation, c’est être titulaire d’une partie de la créance relative à un emprunt.

La bourse en ligne

Présentement que nous avons expliqué une partie du langage exact au monde de la bourse, nous allons plus nous rapprocher pour savoir quelles sont les offres présentées par les structures bancaires en ligne. Nous ne détaillerons pas tous les produits boursiers, mais nous allons seulement faire une comparaison des offres des diverses banques en fonction d’une condition spécifique : les couts. Un des meilleurs brokers actuels est Binck qui possède d’un ordre à 0€ jusqu’au 31 août 2017, pressez ici pour plus d’information sur la proposition.

Effectivement, toutes les structures bancaires online (ou quasiment) proposent à leurs clients d’ouvrir des comptes-titre. Que cela soit de comptes-titre libre ou de PEA (même de PEA-PME), les établissements bancaires via internet reliés à ces produits des profils de gestion entièrement autonome tendant à une gestion entièrement sous mandat, avec plus ou moins d’échelons entre ces deux types.

L’autre sujet essentiel, en plus du nombre et la valeur toute subjective des capitaux sélectionnés, ce sont les moyens rendus disponible par les structures bancaires pour permettre à leurs clients d’effectuer leurs opérations de bourse.

Malencontreusement, il est complexe pour nous de fournir davantage d’informations s’agissant de certaines structures bancaires. Le LCL rejette ses produits et ses espaces particuliers ; un espace bourse pour les nouveaux venus, ou un espace bourse professionnel pour les plus habitués. Elle nous offre en plus un PEA et un PEA-PME. L’unique problème, c’est que cela n’a pas été détaillé (comme coutume) et que ces produits sont à y adhérer en agence physique. En réalité cela ne concerne que des produits LCL ordinaires, rejetés sur un portail via internet.

Pareillement pour l’agence via internet de BNP Paribas. Il est connu qu’on peut créer un compte-titre, un PEA et un PEA PME. La fixation des prix est nettement publiée et plusieurs moyens sont accessibles. En outre, il est faisable d’avoir un échange avec un conseiller au travers d’une webcam, si nécessaire.

Monabanq n’est pas très claire sur la question. Il est possible de créer un compte titre et avoir accès à diverses options en fonction du profil. C’est formidable, mais on aurait aimé davantage…

Hello Bank nous fait la publicité du PEA et nous célèbre les mérites du CIF (Compte d’outils Financiers). Mais nous n’en saurons pas plus non plus…

Il nous reste alors nos 4 professionnels d’investissement. Les 4 structures bancaires via internet qui ont premièrement débuté par l’investissement avant de se transformer en gestionnaire de comptes courants ; Fortuneo, Boursorama Banque, ING Direct et BforBank.

Fortuneo, dans sa touche nette et franche, nous affiche directement le programme : 0 € de droits de garde, des moyens d’administration en temps réel gratis pour tout le monde, et des couts selon du profil d’investisseur : https://www.fortuneo.fr/bourse/tarifs. En conclusion, c’est du presque sur mesure. La proposition de fonds est cohérente (plus de 9 000) et changeante et le type d’administration est optionnelle du client entre la gestion autonome, l’administration suggérée et l’administration sous mandat. Les voici détailler : https://www.fortuneo.fr/bourse/mode-gestion.

Boursorama Banque insiste sur le cout : pas de cout de garde, pas de cout d’entrée et sur la fluctuation avec un logiciel consacré. Mais la plus-value de Boursorama Banque, c’est les données de son portail et l’accès à tous les services exclusifs, conservés aux clients. Evidemment, la gamme de fonds et de titres est très élargie et la structure bancaire s’engage même de faire voyager ses clients jusque sur les fonds de l’Amérique. Les couts sont très concurrentiels : comme vous pouvez le constater. Ils surpassent considérablement avec la concurrence. Evidemment, la souscription au service de bourse via internet également est gratis.

Les couts paraissent élevés à ING Direct, mais le modèle de tarif est distinct. Ce qui ne donne pas la possibilité de faire une comparaison avec ses compétiteurs. Cela est illustré par ceci, Fortuneo et Boursorama Banque offrent 4 profils d’investisseurs et 4 couts joints. Chez ING Direct, pas de profils, juste des couts de courtage liés à des sommes. C’est tout. En voici détaillé : http://www.ingdirect.fr/bourse/tarifs/. Comme coutume, la banque Orange va au plus facile, au plus nette et au plus rapide. Le point commun avec les 2 autres établissements bancaires déjà soulignés, ce sont les couts liés à la garde, à l’abonnement ou à la de tenue de compte, qui sont équivalent à 0 €.

BforBank considère légèrement la pensée d’ING Direct dans sa présentation de cout. Il y a un cout pour les ordres effectués sur les marchés Français, et un autre pour les marchés de l’extérieur. Mais il n y a pas de différences effectués entre divers profils d’investisseurs. Ici aussi, pas de cout liés à la garde, ni à l’abonnement ni à la de tenue de compte, et des instruments exactement conforme à l’accompagnement online en temps réel.

Pour fermer sur ce sujet, on dira que 4 établissements bancaires sont à jour : ING Direct, Fortuneo, BforBank et Boursorama Banque. Pour les 4 autres, ce n’est pas qu’elles ne sont pas rentables ou fiables dans leur processus, cependant l’absence de données est flagrante et l’administration ne se déroule pas réellement online. C’est compliqué de savoir de quoi elles sont vraiment capables.

Pour les amateurs, Boursorama Banque et Fortuneo, au moyen de l’amélioration de leurs différents profils (en de plusieurs points identiques d’ailleurs, couts, sommes et conditions) paraissent plus qualifié de les recevoir. Et ils demeurent tout autant rentables et entiers pour les nouveaux venus éclairés. ING Direct et BforBank semblent s’adresser immédiatement à ces derniers, même si ING Direct fait un grand effort en orientation des nouveaux venus avec une offre très basse mais très instructive.

Investir en bourse : Comment bien faire le choix de votre broker en ligne

1 – Préférer un broker en Bourse avec une offre de services enrichie

Il faudrait Mieux vaut débuter en ayant les suggestions d’un broker qui proposent des services entiers. Ils sont parfois d’un grand secours auprès d’investisseurs débutants dont il est nécessaire pour avoir l’assurance et être habitués avec les marchés. Dès que vous avez confiance en vous, vous pourrez encore plus administrer vos placements.

Beaucoup de brooker offre d’ailleurs des webinaires, livres blancs, vidéos de formation, etc. Presqu’eux tous ont un numéro mobile et un service de chat online au moyen duquel vous pouvez recourir à des professionnels pour vos questions. Contrôlez qu’il s’agit bien de cela avant de vous abonnez à un brooker.

2 – L’accessibilité de votre broker en Bourse est capitale

Faites des efforts pour être connectés au site web ou au logiciel du broker à divers période de la journée, spécifiquement durant les heures de grande augmentation boursière. Contrôlez la durée de chargement de leur site ou logiciel et pressez sur quelques liens pour vous garantir qu’il n’y a pas de difficultés professionnels.

3 – Un broker en Bourse disponible online n’importe où et à tout moment !

Il n’est pas possible d’être constamment devant son ordinateur, de ce fait, rassurez-vous que les autres facilités de connexion au programme de votre broker soient simples et confortables à employer. L’utilisation des smartphones et tablettes pour le courtage via internet s’améliore de jours en jours. Le logiciel doit vous sécuriser les mêmes rôles que le site web et la navigation doit être limpide et intuitive. Car nul ne sait ce qui peut arriver (en manque de batterie ou bloqué dans un endroit où la connexion à internet n’y est pas), Contrôlez que vous avez la possibilité constamment d’effectuer des ordres par mobile en lorsqu’il s’agit d’une nécessité pressante.

4 – L’utilité de la réputation du broker online

Qu’évoquent les autres sur les services du broker ?

Tout comme vous devez faire quelques recherches avant de faire l’achat d’une part, il est de votre devoir de rassembler le plus de données en ce qui concerne votre broker.

5 – Le prix appliqué n’est pas un critère global de sélection de votre broker online

Ne créer pas de compte chez un brooker tout simplement parce qu’il offre le taux la plus réduite. Les prix publiés oscillent considérablement en partant de moins de 50 centimes à une dizaine d’euros par ordre. Cependant soyez prudents, si un brooker est onéreux, cela ne veut pas forcément dire non plus qu’il offre un service admiratif. Ne vous focalisez pas seulement sur le tarif pour juger de la valeur d’un broker.

De plus, vous verrez parfois des adhésions en petits lettres spécifiant quels sont particulièrement les services auxquels vous avez droit. La majorité du temps, les prix seront plus hauts sur quelques places à l’extérieur, sur d’autres produits que les actions et sur toutes les opérations par téléphone. Il est probable que vous trouvez que le prix publié ne s’exécute pas au type d’opération que vous voulez.

6 – Contrôler le capital minimal à placer et le profil adapté avant de créer un compte

Voyez la somme que la compagnie vous réclame de payer pour créer un compte. Attention aux soldes minimum très hauts. Certains broker demandent jusqu’à 100 000 euro de fonds minimum pour créer type de compte premium. Cela peut aller à certains investisseurs, mais (malheureusement) pas à tout le monde.

Autre aspect à avoir : certaines propositions premium ou options/abonnements les moins couteux ne sont qu’accessibles qu’aux investisseurs étant en activité qui effectuent un nombre minimum de transactions en une courte durée fixée (la plupart du temps, cela concerne d’un nombre d’ordres minimum à réaliser en une période de 1 mois).

7 – Le nombre de produits financiers accessible est capital

Au moment de faire le choix d’un brooker, nous sommes pluriels à y aller précipitamment dans l’achat des actions. Souvenez-vous que d’autres faisabilités de placement soient présentes à l’instar des certificats, des obligations, des OPCVM, des ETF ou encore les choix.

Attention Cependant, si vous voulez effectuer des opérations sur des produits de Bourse difficiles, possédant un effet de levier et/ou des dangers faisant partie des produits, il est sans doute acceptable de choisir pour un broker capable de vous fournir toutes les données importantes à votre prise de décision de placement.

8 – La qualité de la relation client est essentielle : misez là-dessus !

Rien de plus déplorable que de demeurer assis pendant 10 minutes en attendant de l’aide.

Avant de créer un compte, appelez le service client avec un questionnement pour observer le temps d’attente pour avoir une réponse.

9 – Ayez préférence pour les comptes de courtage rétribués par votre broker

Il est possible que vous possédez du cash sur votre compte de courtage. Quelques brokers proposeront de les payer, souvent à des taux énormément réduits, voire très bas, une rétribution pour des fonds qui ne sont pas en danger est à considérer.

Prenez des renseignez chez votre Broker pour connaitre ses propositions. En réalité, c’est un excellent questionnement à poser pour vérifier le service client !

10 – Les extras et soldes font la démarcation mais ne bloquent aucunement la comparaison des prix

La somme minimale d’un ordre de courtage a été divisée par dix ces dix récentes années, effectuant en moyenne de 5 euros en 2006 à 0,45 euro en 2015. Mais il est à souligner que les prix ne se sont pas restés les mêmes depuis, pour des motifs de logique économique, le marché parait effectivement avoir atteint un point d’équilibre.

Dorénavant les grands changements en matière de cout, c’est parfois l’option choisie fréquemment à des soldes restreints dans le temps. Il est donc convenable d’être à l’attente sur les extras que les sociétés de courtage proposent à leurs nouveaux clients. Attention néanmoins, ne vous décidez pas en vous basant uniquement sur les 1 000 euros des opérations gratis mais pensez-y et faites la comparaison des tarifs.

Explorons dorénavant nos 8 suggestions pour bien investir dans la bourse en ligne

1 – Maintenez votre calme et demeurez simple

Maintenez votre calme et faites simple. Les hyperactifs de la souris qui effectuent 20 ordres de Bourse par jour en se basant sur d’indicateurs mathématiques difficiles ne profite qu’a votre broker.

2 – Soyez prêts à investir en Bourse pour une longue période

Si vous pensez faire investir en Bourse pour que vous soyez vite riche, continuez votre route. A moins d’avoir de la chance vous n’allez pas doubler votre investissement en Bourse déjà la deuxième année, et encore moins la première.

Quoique les actions soient en catégorie d’actifs qui montrent les excellents résultats sur une longue période, les actions allant d’une performance entre 10-12% l’année en moyenne depuis 30 ans.

Ce résultat se suit aussi d’une grande capacité de laisser aller. Si vous avez un horizon de placement trop réduit, vous serez tenté de prendre des dangers démesurés pour vite gagner des fonds.

3 – Soyez équipés pour préserver pendant une longue période vos actions

A une période courte, les actions sont volatiles. Elles évoluent en fonction des humeurs du marché

Faire une prévision de la place sur une courte période n’est pas faisable. C’est tout

Ben Graham disait dans ce cas : « sur une petite période, le marché se comporte comme une machine à faire des votes, cependant sur une longue période, le marché se comporte comme une balance ».

Malencontreusement plusieurs investisseurs voient la Bourse comme un concours de beauté. Manifestez la patience et restez attentif aux bases de l’entreprise. Le tarif finit constamment par représenter la valeur interne.

4 – Réfléchissez comme un associé

Les actions ne sont pas juste du papier ; elles sont un titre de propriété sur l’actif de la société.

Si vous faites des achats des actions dans une société, comportez-vous comme un partenaire ayant des responsabilités. Accompagné votre société de manière très rapprocher, faites l’étude de ses rapports par an

5 – Soyez en quête des titres de qualité

Rassemblez vos efforts pour trouver les sociétés qui présentent des atouts compétitifs durables. Un atout concurrentiel durable est une excellente assurance que la société préservera sa rentabilité durant de grandes années. Ce bénéfice compétitif peut s’illustrer par la forme d’une grande marque. Les exemples ordinaires de telles entreprises sont Coca-Cola, McDonald’s, Hermès et Google.

li6 – Tenez constamment compte de la valeur intrinsèque

La démarcation entre une bonne société et un bon placement est le prix que vous versez. Lors de la bulle internet, on décelait en Bourse plusieurs entreprises de valeur, mais il était quasiment impossible de trouver des actions à bon prix.

Obtenir des titres de valeur n’est qu’à mi-chemin de votre mission. La deuxième moitié : patientez jusqu’à ce que les prix soient totalement réduits pour que le placement soit attrayant.

7 – Réservez-vous en permanence un écart de sécurité

A moins d’être voyant, il vous est impossible de connaitre le futur. Pour vous garder des incertitudes attachées au futur, veuillez faire des achats de vos actions à des couts très bas à leurs propres valeurs. Cela vous garantira un espace de fiabilité en cas de réduction du titre.

8 – Réfléchissez de façon autonome

Demeurez hors de la foule. Vous aurez du succès dans vos placements par une réflexion logique, car les autres réfléchissent la même chose. Si vous arrivez à garder la tête assez fraiche pour faire des achats pendant les réductions de cours, vous serez bien placez pour bénéficier de l’accroissement quand elle surviendra.

Comme le dit Warren Buffett, « soyez soucieux lorsque les autres sont dans le besoin, et soyez dans le besoin lorsque les autres sont soucieux ».

Pour finir, regardez immédiatement 8 ratios financiers très nécessaires, détaillés avec leur stratégie de calcul et l’interprétation du résultat qui vous faciliteront dans le choix des actions à acheter et vendre en Bourse.

L’analyse fondamentale est une méthode d’observation pour faire des placements en Bourse. Elle permet de trouver la plus-value d’une part, en utilisant des informations « capitales »de la société. Autrement dit, l’analyse fondamentale prend en compte uniquement les variables immédiatement reliées à la société, comme son chiffre d’affaires, ses ventes ou ses profits.

L’analyse fondamentale ne connait pas les informations externes à la société, comme l’émotion de place ou les réactions des tarifs. Elle se base seulement sur l’activité de la société.

L’analyse fondamentale ignore toutes les données extérieures à l’entreprise, comme le sentiment de marché ou le comportement des prix. Elle se concentre uniquement sur l’activité de l’entreprise.

Les ratios financiers de l’analyse fondamentale

1 – Bénéfice par action (BPA)

Il n’est pas avantageux de faire la comparaison le bénéfice d’une entreprise à celui d’une autre, car ce chiffre seul ne tient pas compte le nombre du titre en circulation. En d’autres termes, il ne s’inquiète pas de connaitre combien d’actionnaires se partagent les bénéfices.

Pour avoir la possibilité de faire des comparaisons des bénéfices, il faut donc faire usage du bénéfice par action (BPA). Le calcul du BPA se fait en prenant le profit et en le divisant par le nombre de titres en circulation.

Par exemple, si une entreprise affiche un profit de 20 millions d’euros pour l’année passée, et compte 5 millions de titres en circulation, par conséquent le BPA est de 4 euros.

Le BPA peut se calculer pour l’année passée (BPA historique), pour l’année présente ou pour l’année qui vient (BPA projeté).

Soulignez que le BPA originel est une information sure, alors que les BPA présents et futurs sont des prévisions.

2 – Price-to-earnings ratio (PER)

Comme cela vient d’être constaté, le BPA donne la possibilité de faire des comparaisons des profits d’une compagnie à une autre, cependant ne donne aucune information sur le cout des profits.

C’est la raison pour laquelle, les analystes fondamentaux font usage du PER (Price-to-earnings ratio) pour connaitre comment le marché valorise les bénéfices d’une entreprise.

Le calcul du PER se fait en prenant le cours d’une part et en effectuant une division par son BPA.

Soit le cas d’une action qui est cotée à 120 euros et que la société réalise un profit de 10 euros sur chaque action (un BPA de 10 euros), alors le PER est de 12.

On trouve parfaitement le résultat idem en utilisant la capitalisation boursière et en le divisant par le bénéfice total de l’entreprise.

Comme le BPA, le PER peut être calculé pour ce qui est passé (PER historique) pour l’actuel (PER en cours) ou pour l’avenir (PER prévisionnel). De toutes les façons, la lettre « P » de « PER » est constamment le dernier cours de fermeture.

Plus le PER est haut, plus le marché est capable à payer de manière onéreuse pour chaque euro de profit par an

IL est à souligner qu’une société qui ne réalise pas de profit ne possède pas de PER.

3 – Price-to-earnings growth (PEG)

Un titre avec un PER haut est-il constamment en surévaluation ? Pas forcément. Le titre peut posséder un PER haut car les investisseurs sont certains que les profits vont augmenter très vite dans l’avenir.

C’est une grâce que, l’analyste possède d’un autre ratio lui donnant la possibilité de considérer l’augmentation des profits de l’avenir : le PEG (Price-to-earnings growth).

L’opération du PEG se fait en prenant le PER d’un titre et en faisant la division par le taux de croissance (en %) des profits espérés pour l’année suivante.

Soit le cas, d’un titre avec un PER de 40 et dont l’augmentation du profit est attendue en hausse de 20% l’année qui suit, alors son PEG est de 2.

En généralité, plus le PEG est bas, plus c’est excellent, car cela veut dire que vous payez moins couteux pour la hausse qui vient.

4 – Rendement

Le rendement évalue le taux de gain que donne le dividende accordé à l’actionnaire au cours présent du titre. Son opération s’effectue en faisant le montant des dividendes payés au cours de l’année et en faisant une division par le cours du titre.

Soit l’illustration, d’une entreprise qui paye chaque année un dividende de 2 euros par action, et que l’action a une cotation de 40 euros, alors son revenu est 5%.

Les entreprises qui ont de l’expérience, bien fixées, ou en situation de rente, ont une tendance à proposer d’excellents revenus. Cependant, les entreprises jeunes et en grande évolution paient typiquement des dividendes plus bas, ou même inexistants.

5 – Taux de distribution

Le taux de distribution symbolise la part du gain de la société qui est payé aux actionnaires sous forme de dividende.

Son opération s’effectue en tenant le dividende par action et en faisant une division par le gain par action (BPA).

De ce fait si une société paye par an un dividende de 2 euros par part et présente un bénéfice de 4 euros par part (BPA = 4 euros), alors son taux de distribution est 50 %. Autrement dit, l’entreprise repartage la moitié des profits à ses actionnaires, sous la forme de dividendes.

Globalement, les sociétés qui versent un dividende ont un taux de distribution dans l’intervalle de 25 % et 50 %.

Un taux de distribution haut peut montrer que la société ne décèle pas assez d’opportunité de placement ayant un taux assez profitable pour sa liquidité. Elle peut dès lors choisir de le retourner aux actionnaires. C’est la procédure des entreprises qui ont atteint la maturité.

Les jeunes sociétés, elles, qui doivent faire le financement de leur expansion et possèdent diverses opportunités de placement, sont moins enclin à payer un dividende à leurs actionnaires.

6 – Valeur nette comptable (VNC)

La valeur nette comptable d’une entreprise symbolise l’héritage de la société, net de dette. C’est l’ensemble des actifs de l’entreprise, à laquelle on prélève la totalité de ce qu’elle doit. Autrement dit, c’est la valeur des actifs lorsque l’entreprise n’exerçait plus directement son activité.

Une société qui grandit d’une Facon profitable coute vraiment plus que leur valeur nette comptable. C’est la raison pour laquelle VNC est spécifiquement attrayante les investisseurs value.

Pour faire la comparaison de la valeur nette comptable de deux sociétés, il faut faire usage de la VNC par action, qui s’opère facilement, en tenant la VNC du dernier exercice et en faisant la division par le nombre de titres en cours.

7 – Prix / VNC

Le ratio prix / VNC (« price-to-book ratio », en anglais, « PBR ») s’opère en prenant le cout de l’action d’une société et en faisant la division par la valeur nette comptable par part.

Soit l’illustration suivante, si la part d’une société mis en bourse à 100 euros, avec une VNC de 5 euros par part, alors cette entreprise a un ratio prix / VNC équivalent à 20.

Plus ce ratio est haut, plus le marché est capable de solder de manière onéreuse, à un prix élevé à l’actif net.

Ce ratio est parfois utilisé par les investisseurs valus.

8 – Retour sur capitaux propres

Le retour sur capitaux propres (« return on equity », en anglais, « ROE ») symbolise le profit produit par la société vis-à-vis de son actif net.

Ce ratio s’opère en tenant le résultat net et en effectuant une division par la valeur nette comptable.

Il est utilisé comme indicateur de la capacité des dirigeants de la société à bien utiliser les ressources données par les actionnaires.

En tant que bon investisseur, vous êtes évidemment à la recherche des compagnies avec un ROE haut (>15%). Un ROE haut et régulier est l’indice qu’une société possède d’un atout concurrentiel de longue durée.

Contrairement à, un ROE bas ou en chute est l’indice qu’une compagnie perd son atout concurrentiel.

Bourse direct, Binck et Degiro dans une boite de sardines

La compétition est serrée chez les brokers autonomes, et il est compliqué de les distinguer niveau de leurs propositions qui sont également d’une violence les unes que les autres.

Binck offre une proposition entière avec une bonne accessibilité aux produits financiers et aux places de marchés, ainsi que de bons moyens d’administration pour faire la gestion de ses ordres. Nous aimons Pro Trader qui se transformera en votre mini salle de marchés personnalisée ! Binck exécute cependant des prix un peu plus hauts que ses concurrents, prouvés par nous au regard la valeur de sa proposition.

Venu sur le sol Français en juin 2014, le broker néerlandais DEGIRO est présentement le moins couteux du marché. En outre, plusieurs produits et places financières vous est accessible ! Évidemment qu’il n’y a pas d’office en France… mais cela n’a pas de répercussion pour l’investisseur, qui peut être en contact avec un conseiller francophone par mobile de 8h à 22h (numéro non surtaxé évidement).

En ce qui concerne la Bourse Direct, il offre une proposition entière à des couts accessibles… Mais se distingue particulièrement par son service client : il fut élu meilleur broker online de l’année 2016 dans la section service et satisfaction client par la structure de recherche Investment Trends. En plus, ce qui ne se fait pas régulièrement pour le noter, Bourse Direct possède des filiales à Paris, Lyon, Lille et Toulouse où vous avez la possibilité de prendre rendez-vous avec un cadre dans le but de soulever vos préoccupations techniques, jouir de formations d’apprentissage de la Bourse et faire usage d’instruments d’aide à la décisions… Une bonne option pour ceux qui ne souhaitent pas d’un broker totalement virtuel !